Canyon des Tines, ( 74 ).

L' entrée du canyon.....


....et la sortie.

 
"( le tunel routier est beaucoup plus large ), n'est il pas ?"

L' Abbaye d' Abondance, (74).


L' Abbatiale



L'abbaye d'Abondance se situe au coeur des montagnes, dans les Préalpes du Chablais, entre Léman et frontière suisse. En 1875, elle devient le premier édifice savoyard, classé au titre des Monuments Historiques.


Pièce maîtresse du Pays d'art et d'histoire de la vallée d'Abondance, label décerné en 2003 par le Ministère de la Culture et de la Communication, l'abbaye d'Abondance possède encore son église abbatiale, son cloître et ses bâtiments conventuels.


Encore intacte, l'abbaye, fondée au XIIème siècle par des Chanoines de Saint Augustin, dévoile la puissance d'une architecture gothique de montagne et recèle de fabuleux trésors artistiques. A voir : des peintures murales du XVème siècle dans le cloître, des peintures en trompe l'oeil du XIXème dans l'église abbatiale récemment restaurée et l'exposition « De l'histoire à l'art : patrimoines sacrés en vallée d'Abondance » dans l'ancien monastère.

 Son cloitre

 Ces peintures

 L' intérieur de l' Abbatial.



La Mairie d' Abondance, ( alt.930m).

La croix de Savoie

Vallon de la Chèvrerie, commune de Bellevaux (74).


La carte



Lac né d'un éboulement survenu en  mars 1943, parti du Vallonet sous la pointe de Gay et qui obstrua l'écoulement du torrent, engloutissant les maison qui se trouvaient là.
C' est à ce jour une zone ZNIEF.

 Petite grenouille



déversoire du lac.




le lac et au loin avé la neige dessus, le Roc d' enfer,( 2244m ).






crocus, violet et blanc.

 un reste de neige.








Le Bry, ( 1613m ).



 La chapelle Saint Bruno.







Le début du lac.


L' ancienne Abbaye de la Chèvrerie.





Orchidée prête à fleurir, oui mais laquel ? Simia ou Militaris.....ou ?

Clocher d' Annecy-le-Vieux et maison de Gabriel Fauré.

ANNECY-LE-VIEUX, chef lieux.

  
Le clocher de l'ancienne église dédier à Notre Dame,
elle même construite sur les lieux d’un temple,
 consacré à Jupiter.
L'un des plus beau monument d' art roman de la région, datant du XII siècle.





La demeure des Charmille maison où.....


...Gabriel Fauré (1845-1924) séjourna très souvent, à la fin de sa vie, dans cette belle demeure des « Charmilles » située face à l’église Saint-Laurent, L’histoire nous raconte qu’il aimait à contempler les montagnes et, au lointain, le lac qui miroitait sous les rayons du soleil couchant !


Gabriel Fauré a quitté Annecy-le-Vieux pour la dernière fois, le 18 octobre 1924. Il s’éteindra deux semaines plus tard, le 4 novembre 1924 à son domicile parisien.



 Gabriel Fauré, né à Pamiers le 12 mai 1845 et mort à Paris le 4 novembre 1924, est un pianiste, organiste et compositeur français. Élève de Saint-Saëns et Gustave Lefèvre à l’École Niedermeyer de Paris, il est d’abord organiste à l’église de la Madeleine à Paris. Il est ensuite professeur de composition au Conservatoire de Paris, puis directeur de l’établissement de 1905 à 1920.

La Cité de Carcassonne



 

La porte Narbonnaise




 Le site de Carcassonne a joué à travers les siècles un rôle déterminant dans l'histoire du Languedoc. Oppidum de l'Age du Fer transformé au Ier siècle avant notre ère en ville romaine, la cité devint au XIe siècle la possession de la puissante vicomté Trencavel qui domine le Bas-Languedoc. Au terme de la croisade contre les Albigeois, la cité, dotée de fortifications nouvelles, devient l'une des places fortes emblématiques du pouvoir royal sur la frontière qui sépare la France et l'Aragon.


Avec le traité des Pyrénées en 1659 qui rattache le Roussillon aux possessions françaises, la cité perd cependant son rôle stratégique, laissant à l'abandon ses ouvrages défensifs. Au XIXe siècle, grâce à l'action des Carcassonnais et du service des Monuments historiques qui confia sa restauration à Eugène Viollet-le-Duc, l'ancienne forteresse a recouvré sa physionomie passée.


 

Les ruelles
 
Les remparts du château intérieur 
 

La Basilique Saint-Nazaire, XIe - XXe siècles



son antre



 ses vitraux

une de ses gargouilles



Derrière les arbres, le théatre, Jean Deschamps
 
Le tour des remparts


 Vue de la ville basse




 



L'enceinte romaine vue du front nord.
De gauche à droite, les tours de la Marquière, de Samson et du Moulin d'Avar.

LA VILLE ROMAINE CARCASO:


la fin du IIe siècle av. J.-C., l'agglomération désignée alors sous le nom de Carcaso est intégrée à la colonie de la Narbonnaise dont la fondation, en 118, constitue le premier jalon de la conquête romaine sur le sud de la Gaule. Ce petit centre administratif et commercial placé sur la voie d'Aquitaine devint dans le dernier quart du Ier siècle avant notre ère le chef lieu de la colonie Julia Carcaso dont l'emprise occupe la partie occidentale du bassin audois. Les recherches archéologiques ont permis de préciser la morphologie de ce centre urbain dont la superficie est étendue au pourtour de la butte grâce à l'aménagement de puissants remblais, et au delà vers le nord, le long de la route menant à Narbonne. Les vestiges de murs en blocs de grès, de parois recouvertes d'enduits et de sols ornés de mosaïques aux décors géométriques situent l'emprise de bâtiments antiques dont les orientations pourraient suggérer une trame urbaine orthogonale, propre à l'urbanisme romain.


En revanche, aucun édifice public n'a pu être découvert à ce jour. Devant l'insécurité des invasions de la deuxième moitié du IIIe siècle, la ville est resserrée sur sa butte que l'on dote sur plus de 1200 m d'un puissant mur d'enceinte armé de tours semi-circulaires et de poternes.






 L' entrée de la cité 


Les remparts